Casus Belli
Hope Corporation
Messages : 181 Date d'inscription : 27/10/2013 Localisation : Sur le toit d'un immeuble.
| Sujet: pEgI 18 LOL (feat Googlina) Mer 28 Aoû - 0:20 | |
| La porte claqua dans le son de la fin du monde. Roman s'appuya contre elle avec un grognement, une respiration courte et un corps douloureux. Une petite promenade nocturne, eh bien! il l'aurait fait s'il avait su qu'Avast le fermerait à la première occasion. Il n'avait pas de détective de police en colère pour sa défense, et ce n'était pas l'endroit où elle avait le plus de chances de se rendre. Elle ne pouvait pas se satisfaire de son quartier maudit? Peut-elle seulement piétiner le territoire de l'autre amateur de drogue? Si elle n'avait pas le droit, elle devait quand même l'accepter - la politesse ne l'étouffait pas. Bha, ce qui est fait est fait. Il a eu la chance de rester ici et pas en prison. "Impossible." Il donna un coup de pied dans la porte, pas d'humeur à voir le verre à moitié plein. C'était mal d'être battu, mais elle avait le talent de viser et de se défouler. Le pire, c’est qu’elle a tapé par erreur. Elle n'était pas assez intelligente pour deviner ce qui pourrait l'arrêter. Le hasard sourit aux imbéciles, comme on dit. Il n'y a pas de photo, shérif. Le son de son nom sur sa langue résonnait toujours dans ses oreilles et il se laissa tomber sur son canapé avec un autre grognement. Bon sang, il a refusé de baiser. Il a également laissé son manteau au commissariat. Grand. Il aurait dû mettre son numéro dans sa poche pour vouloir quelque chose. Parce que par hasard ...Il respirait dans ses mains et était incapable d'éteindre son cerveau - quel genre d'exercice putain aurait-il été? Elle l'avait tellement mis en colère que sa colère débordait de ses autres sentiments, et quelle idée avait-il de la suivre comme ça? Quelle bonne idée avait-elle eu d’aggraver les choses? Tout ce qu'il avait ressenti dans la chaleur de l'arrière-plan, c'était de raviver ses pensées et de l'empêcher de se concentrer sur autre chose que le souvenir de son poids et des courbes de sa silhouette. Ses dents sur ses lèvres. Ses hanches sur les siennes. Il s'enfonça plus profondément dans le canapé et était en colère contre lui-même. Si au moins son corps aurait été agréable de l'écouter, mais à midi - beau cul, beaux seins, allons-y. Il n'avait même pas l'excuse d'être manqué ou quoi que ce soit. Il venait juste de la trouver sexy et ce n'était pas la première fois que son cerveau se sentait trop serré. Cet idiot avait déjà couvert la grille du soir afin de se concentrer sur l'essentiel. Le son de sa voix, son souffle sur sa peau.Il a abandonné le jeu avec un soupir. Il serait frustré toute la nuit s'il faisait quoi que ce soit et il ne pouvait penser à personne d'autre. Rien de nouveau, il savait comment c'était. Elle aurait été contente d'apprendre qu'il l'imaginait sans aucun doute d'elle de temps en temps. Il n'avait aucune intention de le lui dire. C'était un coup dur pour la prison. Qu'est-ce qui était ennuyeux, mais bon sang, qu'est-ce qu'il pensait être? Faut croire que les contradictions l'ont réveillé. Il fit glisser sa braguette pour suivre les contours de son érection. Sa tête fut rejetée en arrière sur l'accoudoir, il imagina sa main à sa place, ses doigts allaient et venaient, son souffle s'accélérait. Elle avait de la force, ça ne pouvait être que bon. Son esprit errait sur ses épaules nues, ses cheveux noirs se propageant sur sa peau pâle, ses seins sur lesquels il poserait ses lèvres tout en continuant de le caresser. Encore une fois encore Ses gémissements se mêlèrent lorsqu'il tira sur ses cheveux et se mordit le cou, assez fort pour laisser une marque. Il n'y avait jamais rien de doux dans ces réflexions; Avast le ravissait avec un sexe presque violent, presque animal, dur et rugueux. Parce qu'il voulait manger du bitume, il ne pensait pas autrement. A croire qu'il l'aimait quand elle se couchait. Dans un lit qui ne le dérangerait certainement pas. Montez sur lui, appuyez ses ongles contre sa peau, mordez votre lèvre. Il la ferait gémir et engloutirait toute la retenue qu'il avait laissée derrière lui. Il voulait entendre son nom l'appeler comme il voulait l'entendre pleurer dans la cellule, demander de l'aide: perdre son contrôle et briser le masque une fois. Qu'elle est un peu plus humaine, moins un soldat de pierre. Puisque tu le connais, utilise-le si souvent.Il a avalé un gémissement qui l'a presque étouffé. Ok, Mollo. Il a mis sa chemise sur sa tête, son jean et son boxer pour mieux mentir dans la main. Il respirait profondément avec un bras sur son front. Ava, Ava, Ava. Il avait du mal à comprendre ce qu'elle espérait mettre dans le nez et faire des remarques stupides, mais si son objectif était de rendre les choses difficiles, il y arriverait. C'était vraiment stupide qu'elle se soit enveloppée dans du fil de fer barbelé, elle était si bonne au lit avec son hipster - et il rêvait de lui toucher les seins, de la malaxer, de l'embrasser, comment ses lèvres et sa langue servaient bien cela devrait crier; Il aurait été difficile de ne pas grignoter l'intérieur de ses cuisses, de rester là et de la laisser éjaculer dans la bouche. La pression de ses doigts devint plus forte et il dut se mordre le bras pour éviter de faire trop de bruit. C'était totalement stupide, c'était seulement là, mais n'empêche pas ... Eh. Dans ce cas également, le paysage devrait être magnifique. Elle s'accrochait aux barreaux de la prison, si profondément en elle qu'elle oublierait pourquoi elle l'avait baisé là-bas. Le plaisir la connectait avec chaque muscle avec un pouvoir presque inhabituel. L'orgasme le déconcerta alors qu'il tentait de réparer la couverture et de reprendre son souffle. Oh mon dieuSes nerfs le relâchèrent un instant, assez longtemps pour qu'un rire se glisse entre ses lèvres, comblant le silence devenu lourd. La meilleure partie était le sentiment de voler une partie d'elle-même sans qu'elle s'en aperçoive. Il aurait pu le regretter s'il s'était tenu les mains dans le tunnel. Sois vrai, bébé.- sobs:
Le plus bEAU POSTE DE MA V/PLEURE/
- bon celui sans chemise ni assiette:
La porte claqua dans un bruit de fin du monde. Roman s’y adossa avec un grognement, le souffle court et le corps douloureux. Petite balade nocturne, ben tiens ; il aurait amené de quoi s’occuper s’il avait su qu’Avast le plaquerait à terre à la première occasion. Il avait pas un détecteur à policière énervée, à sa décharge, et c’était pas l’endroit qu’elle fréquentait le plus.
Elle aurait pas pu se contenter de son putain de District ? Est-ce qu’elle avait seulement le droit de piétiner le territoire de l’autre cinglé de toxico, là ? Si elle avait pas le droit, elle devait le prendre, anyway – la politesse l’étouffait pas. Bha, ce qui est fait est fait. Il pouvait déjà s’estimer heureux de passer la nuit ici plutôt qu’en prison.
« Pouvait ». Il donna un coup de pied à sa porte, pas d’humeur à voir le verre à moitié plein. Se faire cogner passait déjà mal, mais elle avait le chic pour viser juste et le foutre en rage. Le pire, c’était de savoir qu’elle tapait au hasard. Elle était pas assez futée pour deviner ce qui allait le mettre hors de lui. La chance sourit aux imbéciles, comme on dit. Y’a pas photo, shérif. Le son de son nom sur sa langue résonnait encore à ses oreilles, et il se laissa tomber dans son canapé avec un énième grommellement. Putain, ça refusait de foutre le camp.
Et il avait laissé son manteau au commissariat, en plus. Great. Il aurait dû glisser son numéro dans sa poche, histoire que ça serve à quelque chose. Parce que mine de rien…
Il souffla dans ses mains, incapable de passer son cerveau en mode « off » – qu’est-ce que ça aurait été putain de pratique, pourtant. Elle l’avait tellement énervé que sa colère débordait sur ses autres émotions, et quelle idée il avait eu de se coller à elle comme ça, déjà ? Quelle idée grandiose elle avait eu d’empirer le truc ? Tout ce qu’il n’avait ressenti qu’en arrière-plan dans le feu de l’action se réappropria ses pensées, l’empêcha de se concentrer sur autre chose que le souvenir du poids de son corps et les courbes de sa silhouette. Ses dents contre ses lèvres. Ses hanches contre les siennes.
Il s’enfonça un peu plus dans le canapé, fâché contre lui-même. Si au moins son corps avait eu la bonté de l’écouter, mais noooon – nice ass, nice boobs, let’s go. Il avait même pas l’excuse d’être en manque ou un truc du genre. Il la trouvait juste sexy, et c’était pas la première fois que son cerveau grippait légèrement en la sentant trop proche. Ce débile avait déjà occulté les roustes de la soirée pour se concentrer sur l’essentiel.
Le son de sa voix, son souffle contre sa peau.
Il abandonna la partie dans un soupir. Il allait être frustré toute la nuit s’il y faisait rien, et il arrivait pas à penser à quelqu’un d’autre. Nothing new, il savait comment ça se passait. Elle aurait été ravie d’apprendre qu’il fantasmait sur elle de temps en temps, aucun doute là-dessus. Il comptait pas lui dire ; c’était un coup à se faire mettre en taule.
Qu’est-ce qu’elle était chiante, mais bordel, qu’est-ce qu’il la trouvait canon. Fallait croire que les contradictions l’excitaient.
Il fit glisser sa braguette pour tracer les contours de son érection. La tête renversée sur l’accoudoir, il s’imagina sa main à la place de la sienne, ses doigts qui allaient et venaient, le souffle précipité à ses lèvres. Elle avait de la force, ça ne pouvait qu’être bon. Ses pensées remontèrent le long de son bras jusqu’à ses épaules nues, ses cheveux noirs épars sur sa peau pâle, ses seins sur lesquels il aurait posé les lèvres tandis qu’elle continuait de le caresser. Encore, encore. Leurs gémissements qui se confondaient quand il lui tirait les cheveux et qu’elle le mordait au cou, assez fort pour y laisser une marque.
Il n’y avait jamais de douceur dans ces rêveries-là ; Avast lui inspirait du sexe quasi violent, presque bestial, hard and rough. A force de vouloir lui faire manger le bitume, il ne la voyait pas autrement. A croire qu’il aimait qu’elle le plaque à terre.
Dans un lit, ça l’aurait sûrement pas dérangé. Qu’elle lui grimpe dessus, lui enfonce ses ongles dans la peau, lui morde la lèvre. Il lui ferait gémir son nom à coups de reins en retour, dévorerait toute la retenue qu’il lui restait. Il aurait adoré l’entendre crier son nom comme il aurait adoré l’entendre crier à l’aide, dans la cellule : lui faire perdre le contrôle et fissurer le masque, rien qu’une fois. Qu’elle soit un peu plus humaine, moins soldat de pierre. Puisque tu le connais, hein, autant l’utiliser.
Il ravala un gémissement sur lequel il faillit s’étouffer. Okay, mollo. Il fit passer son t-shirt par-dessus sa tête, descendit son jean et son boxer pour mieux se reprendre en main. Un bras sur son front, il prit une profonde inspiration.
Ava, Ava, Ava. Il avait du mal à saisir ce qu’elle espérait en lui mettant le nez dans sa poitrine et en lui faisant des remarques scabreuses, mais si son but c’était de le faire bander, alors c’était réussi. C’était vraiment con qu’elle s’enroule dans des barbelés, elle aurait été super bonne au lit avec son déhanché – et ses seins qu’il rêvait de toucher, pétrir, embrasser, comme ses lèvres et sa langue qui devaient bien servir à autre chose que hurler ; ça aurait été du gâchis de ne pas lui mordiller l’intérieur des cuisses, de s’y attarder pour la faire jouir avec sa bouche à lui.
La pression de ses doigts se fit plus forte, et il dut se mordre le bras pour ne pas faire trop de bruit. C’était complètement débile, il n’y avait que lui ici, mais n’empêche…
Eh. De dos aussi, le paysage devait être splendide. Accrochés à des barreaux de prison, si profondément en elle qu’elle en oublierait pourquoi elle l’avait foutu là en premier lieu.
Le plaisir lui noua tous les muscles, avec une violence presque inhabituelle. L’orgasme le laissa là, hagard, à fixer le plafond en tentant de reprendre son souffle. Oh My. Ses nerfs le lâchèrent momentanément, assez longtemps pour qu’un rire se faufile entre ses lèvres et comble le silence devenu pesant.
Le meilleur dans tout ça, c’était la sensation de lui voler une partie d’elle-même sans qu’elle le sache ; il aurait pu avoir quelques remords, si elle avait gardé ses mains pour elle dans le tunnel. Serves you right, baby.
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