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 Le fil d'un dieu est en Or [Atropos.Terminé]
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MessageSujet: Le fil d'un dieu est en Or [Atropos.Terminé]   Le fil d'un dieu est en Or [Atropos.Terminé] I_icon_minitimeVen 28 Mar - 15:41


❝Atropos


✗ Comment tu t’appelais ?
Matthew Reston
✗ Tu as choisi quel pseudo ?
Atropos
✗ Tu as quel âge en fait ?
Atropos à environ vingt cinq ans. Sa psyché suis le même schéma, il n'est ni brillant, ni stupide.
✗ Tu viens d'où ?
État-unis, Alaska, Seward.
✗ Tu veux aller sur quelle île ?
Holy Sword
✗ Tu fais quoi dans la vie ?
Tailleur.
✗ T'es un super-héros ?
Maîtrise des fils.
Spoiler:


» Mémorisation Physique.



✗ La couleur de tes yeux de biche ?
Atropos possède des yeux d'un bleue cyan aussi froid que la glace elle même, des yeux semblant vous transpercer l'âme, l'esprit et le corps. Ses yeux de glace dégage une allure de domination naturelle.
✗ Et celle de tes cheveux au vent ?
La  chevelure du garçon prends une teinte très crème, un mélange assez particulier et difficile a définir, cependant, il est important de souligner qu'il possède deux mèches tombant sur les épaules dont le bout fut teint de rouge. De part leurs longueur il les coiffent en une immense tresse qui tombe jusqu'à ces chevilles.
✗ Tu sens la rose ou tu pues le yack ?
Il sent l'odeur du bois et de la paille, une odeur assez simple, légère, qui l'entoure souvent, il n'a pas de parfum a proprement parler mais il passe son temps à filer et coudre, il aime aussi la nature et l'odeur de la paille et s'en imprègne souvent involontairement. Ainsi, il finit souvent par sentir comme cité précédemment.
✗ Taille & Poids ?
Il faut le dire, Atropos impose une certaine présence, du haut de son mètre quatre-vingt six il a cette tendance a observer les gens de haut, quant à son poids et bien, il est plus que satisfaisant, soixante dix sept kilos, majoritairement du muscles formés a force de porter des kilos de poisson fruit des pêches faite dans sa ville natale et l'unique qu'il n'ai jamais vu.
✗ Signe distinctif ?
Excepté son étrange chevelure, Atropos ne possède que deux signes distinctif, le premier est la présence d'une fissure sur sa canine gauche, causant une absence de sourire a pleine dent ou des demi sourires. Le second, ce sont des tatouages sur ses avants bras, trois flammes faisant le tour de ses avant bras.


» Analyse cérébrale.



✗ On n'est pas parfait hein ?
Il est parfois difficile de faire une introspection et de voir ses propres défauts, cependant, pour Atropos il s'agit de quelque chose d'aisé, il est introverti, mal à l'aise en public, incapable de parler directement a quelqu'un, totalement maladroit dans ses propos. De plus, il possède une piètre opinion de lui même, il est incapable de se dire qu'il est doué, bon ou même capable d'agir talentueusement. A coté de cela, que dire, la liste est longue, nous pourrions parler de sa couardise, incapable de se dresser face a quelqu'un, incapable de prendre une décision importante, toujours terrorisé d'agir. Il est possible aussi de parler de sa tendance naturelle à parler de sujet qui fâche, toujours a faire une gaffe, toujours a faire une erreur monumentale. On pourrait le qualifier d'ingénue, toujours a dire les choses naturellement, sans penser a mal même s'il blesse. Bien sur s'il s'en rends compte il s'en excuse et bien sur, il peut lui arriver de mentir comme tout a chacun. Et bien sur un demi défaut pour conclure, la gourmandise, Atropos est gourmand, très gourmand, un véritable passionné de sucreries.
✗ Mais on gère la fougère ?
Contrairement a ce qu'il pense, Atropos possède certaines qualités et ces dernières ne sont pas des moindres. En effet il est quelqu'un d’extrêmement généreux et altruiste, préférant se sacrifier plutôt que de laisser quelqu'un souffrant. Il préférera toujours le bien d'autrui au siens. Il est aussi important de souligner sa douceur, sa candeur, il est une personne douce, calme, posé et gentille, peut être trop parfois, mais il est tout de même doux. Il est aussi quelqu'un de très silencieux ce qui le rends à l'écoute, attentif à autrui, toujours prêt à les écouter, certes car il n'ose pas parler mais aussi car il aime bien ceci. De plus il est quelqu'un qui semble toujours heureux, la joie (ainsi que l’orgueil et la prétention) semble se lire sur son visage. Il possède toujours un léger sourire sur le visage, pensant qu'il est important que les gens voient la joie au moins une fois par jour.
✗ Tu préfères les garçons, les filles, les deux, les chatons ?
Hétérosexuel, mais parfaitement incapable de réagir convenablement à la proximité avec qui que ce soit, donc inutile d'imaginer avec une dame.
✗ Moi j'ai un rêveuuuh ?
Atropos rêve de prendre confiance en lui.
✗ T'as peur de quelque chose ?
Il craint tant de chose, autrui, la foule et globalement tous ce qui peut lui sembler dangereux.
✗ Quels sont tes goûts ?
Il est passionné par le sucres, tout ce qui est sucré, bonbons, chocolats, gâteaux, crêpes et tout ce qu'il peut trouver qui serait emplie de sucres. A coté de ceci, il est important de noter qu'il ne bois jamais d'alcool ne supportant pas ceci.
✗ Signe distinctif ?
Excepté sa nature totalement renfermés sur lui même rien de bien important.


» Chargement du jeu.



✗ On a tous un passé :
Matthew naquit dans une famille simple et banale, sans difficulté mais sans opulence. Une famille assez banale, il naquit dans le froid de l'hiver. En pleins décembre, loin de l'été, loin des grandes ville et de la pollution. Il naquit dans la ville de Seward en Alaska, une ville principalement basé sur la pêche. Son père, était un marin, un homme fort, strict, aussi froid que l'acier.  Sa mère quant à elle était une artiste, passionnée, pleine de fouge et de passion, nul ne savait comment l'un et l'autre s'était trouvé, mais en est naquit un beau garçon grand et fort, mais timide et facilement effrayé. Un enfant qui ne cessait de faire la déception de son père de part sa couardise et son absentéisme et qui ravissait sa mère car elle pouvait le chouchouter tout son saoul. Il était ce qu'on pourrait nommer communément un fils a sa maman. Toujours fourré dans ses jupons, ne la quittant jamais, accroché a sa jambe en toute occasion. Un enfant qui n'était en rien faible ou fragile. Il avait la carrure de ceux que l'on prédestinait a la pêche, ceux qu'on emmenait en mer, ceux qui portait des kilos de poissons aisément. Mais il avait la soif de lecture et la passion de sa mère, il passait de nombreux jours enfermés dans sa chambre a lire nombre de contes de fées, à lire passionnément des romans de capes et d'épées, avide d'aventures fantastiques. Il voyait ainsi le monde d'une façon très pure, très innocente, à ses yeux tout était forgé dans les contes et les romans, pour lui, malgré cette époque barbare et sombre, tout était incroyable, les gens étaient noble de cœur et d'âme, prompt a aider autrui, toujours sympathique. Même son père à l'allure si froide, aux propos si dur était un noble héros bravant la mer pour pêchés poissons et coquillages.  La mer de Seward était heureusement toujours en dégel ce qui permettait une pêche toute l'année. A coté cela, la ville vivait généralement du tourisme qu'offrait la péninsule et la beauté de l'Alaska. Ainsi, la prime jeunesse de Matthew avait été bercé de récit de marins, de contes, de ces hommes fiers ramenant plusieurs kilos de poissons et de coquillages. Il était ainsi convaincu de la pureté de cœur de l'humain, convaincu que de nobles dames et de nobles hommes l'attendait. Mais cette première enfance d'écoute l'avait conduit à rester très silencieux, très calme. Il ne s'ouvrait que très peu, demandant simplement de temps a autre une histoire, demandant à boire, mais rien de plus, ne parlant pas, n'allant pas jouer avec les autres enfants. Pourquoi il ne jouait pas ? Par peur, il n'osait pas s'approcher de ses autres enfants qui semblait si bruyant, vif, emplie de joie, il avait peur de toute cette énergie et n'osait aller jouer avec eux.

Parlons désormais du temps passé avec sa mère, peintre et dessinatrice elle passait son temps à travailler chez elle, emplissant le lieu tantôt de commande, tantôt de ses œuvres a elle. Ainsi, l'enfant passait de nombreuses heures a admirer sa mère apposer la couleur sur des toiles, à gratter au fusain, à dessiner sur des millier de planches. Allant de simple croquis élégants à des œuvres parfois complexe mêlant ésotérisme, magie et poésie. Il ne s'essaya jamais à ses arts que sa mère maîtrisait, sachant qu'il n'aurait jamais rien d'autre que la gloire que l'on a dans l'ombre d'un génie. Étrangement, Matthew possédait une préférence pour une série de peinture que sa mère gardait au grenier, des tableaux qu'il pouvait admirer des jours durant s'en jamais s'en lasser.  Le premier d'entre eux représentait la mariage de Skadi, géante des neiges et de son époux Njörd maître des vents et des flammes. Le second, lui représentait Orphée se retournait dans les enfers et l'ombre d'Eurydice s'évaporant. Quant au dernier, il représentait Clotho, Lachésis et Atropos, respectivement tissant, enroulant et coupant le fil de la vie.Ainsi l'enfant avait pu admirer de nombreuses choses, des passions d'un instant, de la beauté évanouie et diverses peintures plus incroyable les unes que les autres. Ainsi, chaque journée passé en compagnie de sa mère était une journée en compagnie d'une muse créatrice, d'une déesse, d'un ange qu'il admirait. Vous pouvez nommez cela un Œdipe si vous le désirez, mais Matthew ne nourrissait aucune haine envers son père. Au contraire, il l'enviait de son courage, de sa force et de son aspect droit et fier. De même qu'il n’éprouvait pas de l'amour pour sa mère, mais la même envie, l'envie de ce talent artistique incroyable. Matthew, enviait ses parents, leurs forces, leurs talents, tout ce qui faisait qu'ils étaient des parents fiables et passionnant. Mais plus encore il enviait son père.

Ce père, qui rentrait le soir et partait dans la mâtiné, ce Père qui bien que strict et fier, montrait toujours un sourire tendre à son enfant. Ce père qui bien qu'inquiet du silence offert par son fils lui montrait une affection grandiose. Ce père qui suait sang et eau sur les bateaux de pêches pour offrir des livres à son fils, des toiles et de la peinture à sa femme. L'homme semblait strict, dur et froid, il l'était parfois, mais nul à part sa femme et son fils ne voyait son véritable visage. Ce visage qu'il montrait tout les soirs en rentrant, dans une suite d'action semblable à un rituel. Il commençait par enlever son imperméable et son chapeau, les accrochant à la porte, puis, se tournant vers sa femme, lui lançant un sourire éclatant, les yeux brillant d'amour, la soulevant pour l'enlacer tendrement. Puis, d'une façon éternellement identique, il se penchait, observait son timide fils un instant, le regard grave avant de lui tendre les bras pour le saluer. Matthew appréciait cela, cela n'était peut être pas grand chose, mais il s'agissait tout de même d'une preuve d'affection incroyable venant de son père. Il aimait ses instants heureux où ils étaient attablés tous ensemble a s'amuser. Il ne menait pas la grande vie, mais elle était plus que satisfaisante, plus que plaisante pour cet enfant. Chaque soir était un plaisir incroyable, la joie de l'enfant était intense et il était persuadé qu'elle durerait toujours. Mais le temps est un allié infidèle et Matthew devenait un enfant en âge d'aller à l'école.

C'est ainsi que les jours bénis passer dans l'ignorance, à regarder peintures et dessin, il était désormais temps pour lui d'apprendre la sociabilisation, la vie en communauté, ce fut une journée dramatique pour l'enfant qu'il était. Un enfer incroyable. Il vit sa mère partir, l'abandonner, il comprit pourquoi, mais il ne pouvait l'accepter. On le poussa dans une court emplie d'autre enfant, il les observait de loin, il était déjà plus grand que la plupart, de peu, mais c'était le cas, il ne savait comment réagir, quoi dire, quoi faire,  il resta donc dans sa solitude, silencieux. Toujours sans parler, cela rendait perplexe tout adulte, savait il parler, savait il être. Ils n'en savaient rien, l'enfant restait calme, discret. On savait d'or et déjà qu'il savait lire, écrire aussi, mais il ne parlait pas. Certains enfants allaient vers lui mais il ne parlait pas, il ne réagissait qu'en tremblant, en emmêlant ses doigts les un avec les autres et en fuyant, parfois pleurant sous la panique. Bien malgré son silence et sa solitude il n'était pas dénué de talent intellectuel, pas le meilleurs mais loin du plus bête, il se débrouillait.  Après presque une année complète, il finit par parler, parler du commun, comme n'importe qui, mais uniquement avec son père et sa mère. Lorsqu'il revenait de l'école et qu'on lui demandait ce qu'y si était passé, il parlait, lorsque son père le regardait, quelque peu triste, quelque peu désabusé, quelque peu déçu par cet enfant solitaire et silencieux, lorsque ce père lui demandait pourquoi il ne jouait pas avec les autres, pourquoi il n'allait pas parler avec les autres, pourquoi il s'enfermait dans cette solitude, Matthew ne répondait pas. Il se retournait vers sa mère silencieux, l'observant et elle parlait, prenait sa défense, déclarant qu'il ne fallait pas brusquer ce petit, qu'il arriverait un jour à s'ouvrir, que les gens étaient comme des roses, celle ci était en retard, pourtant lorsqu'elle s'épanouira, elle serait la plus belle de toute. Ainsi, elle prenait la défense de cet enfant si calme qui vécu une première école dans le silence et le calme, sans jamais s'ouvrir, sans jamais aller vers qui que ce soit, n'aimant que père et mère et craignant l'humanité entière.

Il grandit donc ainsi et fini par arriver au collège, années qui faillirent se présenter sous l'imagine du drame, son père craignait qu'on le persécute de par son silence profond, mais étrangement il n'en fut rien, peut être que sa taille et sa carrure aidait, mais de nombreuses personnes tentèrent de venir vers lui, de lui parler, de le connaître, il ne répondait que peu, avec des phrases minimalistes, parlant d'une voix faible, timide, presque inaudible, au fil du temps, les gens perdirent leurs intérêt pour lui, comprenant qu'il n'était rien de plus qu'un être solitaire, il subit certes quelques brimades, insultes et autre critique chère aux cœurs cruels des adolescents, mais il s'en moquait, il restait cloîtré dans son silence, ignorant ainsi tout être qui était , tout chose qui fut. Il passait ses études tranquillement,  finissant par atteindre le lycée, mais cet à cet instant que sa vie prit un tournant, un tournant simple pour n'importe quel jeune homme, mais un mur infranchissable, une barrière qu'il ne pouvait ouvrir, un ravin que l'on nomme amour, passion ou encore désir. Il ne put contrôler ce tourment, ce torrent incroyable qui dévora son cœur comme un Wendigo dévorent le cœur de sa victime avant de la geler. Il était éperdu de cette fille, mais on ne fait pas tomber amoureux, mais elle était si drôle, si intelligente, si, si, jolie, non si merveilleuse, elle avait un regard et des cheveux sans oublier son sourire. Oui, il était amoureux, fou éperdu de cette jeune femme brune, les cheveux bouclés, les yeux d'un vert émeraude perçant le cœur du pauvre Matthew,  mais il ne pouvait que rêver, espérer, admirer de loin comme un animal en cage admire le ciel, une sombre cage qu'il s'était forgé lui même a force de rester silencieux. Il ne pouvait pas lui parler, s'approcher d'elle, discuter, faire connaissance, la séduire, non, il n'était rien de plus qu'un Albatros, un Albatros parmi les marins qui se riait de lui, un Albatros qui rêvait d'une nymphe et qui comme Icare finissait par se noyer dans la mer de sa stupidité. Et cet Icare, cet Albatros, cet ignorant s'approcha bêtement du soleil, de la nymphe qu'il admirait, lui sourit, mais brûla, brûla ardemment lorsque d'un revers de main elle l'évinça, elle l'effaça, elle le fit disparaître de son univers. Il retourna ainsi à sa solitude, à sa prison délicate. Oubliant cet amour de rien, cet amour rêvé, brisé, futile et maudit. Se concentrant sur ses études, désireux de faire quelque chose de ses mains. Mais au fond de lui, il n'aimait rien de tout cela, il rêvait, rêvait de contes, de capes et d'épées, de reines et de rois. Il rêvait de rejoindre l'univers magique des livres, il voulait vivre autre chose que cette vie, il voulait le bleu de l'espace, tout ce qu'il n'a pas, un ami qui le comprenne et des livres par centaines. Il voulait grand, il voulait vivre, il voulait être. Mais s'enfermait seul dans une cage d'acier forgé par son imbécillité. Une cage dont seulement deux personnes possédaient la clé. Mais l'une de ses clés, allait bientôt se briser.

Un soir de tempête,  Matthew venait d'arriver, tremper par une pluie battante, il ne pu voir sa mère, il la trouva seule, dans le grenier, à genoux devant un portrait de son père, le visage entre ses mains, des larmes coulants entre ses doigts, des taches des pleurs sur le parquet, il ne comprenait pas, elle se jeta alors contre ses jambes, les serrant, pleurant encore, murmurant à demi mot que son père avait disparu en mer. Le garçon ne pu exprimer la peine qu'il avait ressentit à cet instant, le tourment, son père qu'avait il penser de lui  à sa mort, était il déçu jusqu'à la fin, désespéré par son fils ou l'avait il finalement accepter la nature de ce garçon. Bien qu'aucun corps ne fut retrouver, un enterrement eu lieu, un mois après, il n'y avait que peu de gens, un soleil intense brillait, mais Matthew restait loin de la foule, seul, observant la cérémonie, un peu après sa mère vint le rejoindre. Il déclara alors, les yeux embués de larmes, qu'il détestait la pluie, sa mère lui déclara alors qu'un large soleil brillait, il insista, déclarant qu'il sentait les gouttes sur ses joues.  Ce fut quelque jours plus tard qu'il prit une décision, il ne pouvait plus continuer ses études, il les finirait, puis travaillerait, c'était désormais à lui de s'assurer que sa mère avait ce dont elle avait besoin.  Il avait pris sa décision, adieu les rêves de sa vie, sa mère méritait qu'il s'occupe d'elle.

Ainsi, il se mit en tête de travailler à la place de son père, ignorant qu'il était jeune garçon naïf et stupide. Et pourtant, emplie de bonne volonté, il faisait de son mieux, tirant les kilos de poissons ramenés par les filets, bravant la pluie, rapidement, il obtint une réelle musculature, un corps sculpté par l'effort, mais il ne cessait d'avoir l'esprit bercé par les peintures, par les dessins de sa mère, il ne pouvait vivre sans rêver, rêver d'une vie plus belle. Les premiers mois furent les plus ardus pour le corps de Matthew qui ne pouvait supporter tant de courbatures et de douleurs, mais au fil des mois il parvint à devenir un marin fier et silencieux.  Un soir qu'il se reposait dans sa chambre, il reçu un sms, Hedger impact, il en avait entendu parler, mais il ne s'était jamais réellement intéressé aux jeux vidéos bien sur, il adorait leurs univers, mais la technologie n'était pas réellement sa passion, il aimait les mondes antiques, plus médiévaux. Pourtant, quelque chose en lui hurlait pour répondre oui, il commença a taper non, puis soudainement effaça et répondit oui, brusquement, sans même savoir pourquoi. Il savait qu'il n'avait pas le temps de jouer a des jeux, cependant, essayer ne pouvait rien faire de mal. Le lendemain soir en rentrant du travail, il avait reçu un colis, il l'ouvrit et y découvrit un casque, il se mit alors a regarder le message, un doute l'assaillait et s'il y avait une entourloupe, s'il lui arrivait quelque chose. Il doutait, mais pourtant, il porta le casque sur son crane et s'écroula sur son lit sentant sa conscience happé par cet univers virtuel.
✗ Ton arrivée à Euphemia et ta réaction :
C'est en tant qu'Atropos que Matthew fit ses premiers pas sur Euphemia, pourquoi, car il aimait ce tableau de sa mère plus que tout les autres. Ainsi, lorsqu'on lui proposa les îles, le choix fut rapide et concis, Holy Sword était l'île de ses rêves. Lorsqu'il arriva sur l'île il fut prit d'un désir enfantin, il pouvait rester ici éternellement, cela lui convenait parfaitement, il était bonheur, il était joie, jamais plus il ne voudrait quitter cet univers. Il était emplie de tout ses désirs. Il avait pris une décision ici, il ne serait plus Matthew le pêcheur, non, il serait Atropos le tailleur, voilà qui le rendait divinement jouasse. Le fait de ne pas pouvoir quitter le jeu n'était pas un problème, il pouvait exercer la vie de ses rêves, il pouvait vivre comme il le désirait, il se souvenait de son conte favoris, Les trois fileuses, des frères Grimm, il voulait faire cela, filer la laine, le lin, tailler et coudre. Oui voilà qui le rendait heureux. Ainsi il n'avait besoin que de lui et de lui seul. Lorsqu'il découvrit son pouvoir sa joie se fit encore plus grande. Il apprit rapidement à le maîtriser, il avait apprit à laisser autour de lui quelque fils ainsi il savait qui venait vers lui, qui entrait dans son monde, dans son aire de vie.


» Toi le geek.



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MessageSujet: Re: Le fil d'un dieu est en Or [Atropos.Terminé]   Le fil d'un dieu est en Or [Atropos.Terminé] I_icon_minitimeLun 31 Mar - 22:02

C'ETAIT LONG
MAIS LONG...
POURQUOIIIII? ;w;

Mais j'ai réussi ! et malgré ça, ça m'a captivé...
je te fais confiance pour rajouter une petite limite à ton pouvoir par contre ou bien ne pas en abuser en rp ! ;)

Re-bienvenue parmi nous mon disciple ♥
oh et ... tu es magnifique 8D

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