Horizon
Hope Corporation
 Messages : 49 Date d'inscription : 26/07/2013
 |  Sujet: Horizon - I can be sexy even with my glasses.  Sam 27 Juil - 0:38 | |
|  ❝Horizon  | ✗ Comment tu t’appelais ?
Alice Green. Comme Alice aux pays des Merveilles. J'adore. Et Green parce que mon père s'appelait comme ça. Comme le gazon.
✗ Tu as choisi quel pseudo ?
Horizon, prononcé à l'anglaise, please. Sinon ça fait pas beau.
✗ Tu as quel âge en fait ?
19 ans physiquement et 21 mentalement. Comment ça je mens ?!
✗ Tu viens d'où ?
Etats-Unis. Même si je suis née à Londres. J'ai vécu presque toute ma vie aux States, dans le Minnesota. Un petit bled perdu où je râlais quand la connexion wifi faisait chier le monde.
✗ Tu veux aller sur quel île ?
Hope Corporation. Geek en puissance.
✗ Tu fais quoi dans la vie ?
Garde du corps d'Umbra (si elle veut ou bien un truc dans ce goût là)
✗ T'es un super-héros ?
Torture mentale. En mode Harry Potter et le sortilège impardonnable de l'Endoloris.
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» Mémorisation Physique.
✗ La couleur de tes yeux de biche ?
J'ai des yeux turquoise, plutôt sombre. Caché par des lunettes. Okay le total du ringard les lunettes. Sérieux ? Comment peut-on avoir la classe avec des lunettes ? C'est pas possible, on est d'accord. Donc, j'ai de superbes yeux gâchés par ces infâmes verres de vue. Sans ça je suis myope. Et je supporte pas les lentilles. Fuck la vie.
✗ Et celle de tes cheveux au vent ?
Rose parce que le rose dominera le monde un beau jour. Ma couleur préférée pour ainsi dire. Le rose c'est tellement de choses en même temps. C'est l'enfance, les bonbons, l'innocence, la douceur, le plaisir, la couleur d'un préservatif. En gros, c'est comme les icebergs. Comme moi. Le rose c'est bipolaire.
✗ Tu sens la rose ou tu pues le yack ?
Je sens bon. Je suppose. Peut-être que je sens mauvais. Je me lave tous les trois mois, je trouve ça déjà pas mal ! ... Non, plus sérieusement. Je sens.. Les bonbons. Les fraises tagada plus précisément. Parce que j'en bouffe tout plein.
✗ Taille & Poids ?
Je mesure un mètre soixante douze et pèse cinquante et un kilos. En gros je suis grande, fine avec de jolies formes - mais j'ai des lunettes.
✗ Signe distinctif ?
J'ai un tatouage dans le dos. Un truc qui ressemble à une ramification d'arbre avec des épines qui court le long de mon dos, du côté gauche, à partir de mes reins jusque sur mon épaule. Autour de la branche aux feuilles stylisées, il y a des papillons colorés qui font un peu... Dark. C'est pas de gentils papillons des champs à fleurs mais plutôt des insectes du Diable. Je suis souvent habillée en costard style mec, le boulot m'y oblige un peu. Avec les lunettes ça fait genre très sérieux.
» Analyse cérébrale.
✗ On n'est pas parfait hein ?
Je vais te faire un câlin et après je vais te tuer. Bipolaire en puissance. Versatile, impulsive, imprévisible. Elle change d'avis et de comportement comme de chaussettes. Intouchable et impitoyable. Inutile de vous croire dans la possibilité d'avoir le dessus avec elle. C'est très rare qu'elle se montre docile. Et elle ne connait pas le mot clémence. Par contre, elle sait ce qu'est la rancune. Absence de pardon total. Pardonner c'est être faible. Asociale. J'aime pas les gens. Sauf Father. Froide, agressive et méprisante. L'humain ne mérite pas de vivre. Hautaine, arrogante et prétencieuse - un peu. Peu expansive et expressive, en général. Pas de détails, pas de sentiments. Bruyante, surtout quand elle réfléchit parce qu'elle parle beaucoup toute seule. Éternelle blasée de la vie, elle soupire souvent. On ne peut pas compter sur elle - pas du tout. Égoïste quasi égocentrique. Moi moi moi. Elle a tendance à parler fort et assez vulgairement. Sale caractère pour résumer.
✗ Mais on gère la fougère ?
Appliquée et soigneuse à la limite du maniaque. Faut que les choses soient carrées bétons parallèlement perpendiculaires comme sur des roulettes. Très intelligente. J'ai un cerveau, moi. Et j'm'en sers ! Energique et dynamique, une vraie boule de nerfs quand elle motivée - traduisez: rarement. On lui fait facilement confiance alors que c'et un grossière erreur. Discrète, elle sait se fondre dans la foule et prendre par surprise. Jolie, assez sexy, surtout sans les lunettes. Petit côté geek caché par l'élégance de sa démarche et de ses fringues. Charismatique, autoritaire et volontaire. Surtout téméraire. Faites attention.
✗ Tu préfères les garçons, les filles, les deux, les chatons ?
Les deux. En même temps. Bisexuelle, sans rire.
✗ Moi j'ai un rêveuuuh ?
Comme princesse Raiponce (Eugène est trop beau). Hurm. Se marier avec Father ? Avoir des enfants avec Father ? Devenir Father ? Tant que Father en fait partie..
✗ T'as peur de quelque chose ?
Que Father meurt ou la jette au loin comme une boulette d'aluminium usée.
✗ Quels sont tes goûts ?
J'aime Father, l'informatique, le virtuel, l'imaginaire, le rose, ma poitrine, les cookies au nougat, les fraises tagada, l'orage et les chats.
J'aime pas Umbra, les gens, les gentils, la chaleur, les tomates, la réalité, les lunettes, les gens pas intelligents, les gens trop intelligents et les araignées.
✗ Signe distinctif ?
Bipolaire mon amour.
» Chargement du jeu.
✗ On a tous un passé :
Vivre, c’est jamais facile. Surtout quand on est élevé par un père violent. Surtout quand vous avez le spectacle d’une mère battue sous les yeux chaque jour. Surtout quand votre existence se résume à protéger votre petit frère du mal. Et que celui-ci disparais tout de même, par la faute de votre père, par la faute de votre mère, par votre faute.
Erwan Green, beau jeune homme d’une trentaine d’années cache son jeu depuis tout le temps qu’il est avec son aimée, Kate Anderson. Il l’épouse et lui fait un gosse, tant qu’on y est. Par accident. Evidemment. Lui ce qu’il voulait vraiment c’était se la faire, après les conséquences, il en a rien à foutre. Du coup, il se retrouve papa. Une fille. Il est content, il va pouvoir cogner dessus aussi. Il jubile. Il a à son service deux petites poupées fragiles qui lui obéissent au doigt et à l’œil. Et il frappe. Il abîme leur corps comme une enfant le ferait avec ses jouets. Il aime les voir avec des marques sur le visage. Personne ne réplique pour le moment. Alors il continue. Et puis merde, sa femme a un deuxième enfant, un garçon. Il va lui enseigner l’art du machisme, l’art de la violence, l’art de traiter le beau sexe comme de la merde. Mais voilà que sa première fille, Alice, se rebelle. A sept ans, elle résiste à son père, défend sa mère, protège son frère. Une mentalité de super héros ? Pourquoi pas. Mais cette peste l’exaspère. Il voudrait s’en débarrasser, mais il n’a jamais été jusque là, il ne sait pas s’il en a les couilles. A vrai dire, il flippe. Mais il faut qu’elle crève. Il doit la remettre à sa place. A Noël tout éclate. Il lui court après, il veut lui faire mal, abuser d’elle et la blesser, cette petite écervelée qui pense pouvoir le battre. Elle dévale les escaliers, il la suit et pousse son fils. Ce dernier fait une chute dans les marches et en meurt, la nuque brisée. Ô que le monde est cruel. Divorce. La mère a trouvé dans le décès de son petit protégé, la force, d’elle aussi, combattre. Alors il la harcèle, il la menace, il lui fait peur. Un jour, il boit. Il boit à s’en faire exploser l’estomac. Il boit. Tout ce qui lui tombe sous la main. Déterminé, il va vers la maison, prêt à tuer son ex femme et sa fille. Puis c’est deux lumières aveuglantes au loin, puis le noir des ténèbres. Un bruit de freins, une porte qui claque, un appel à l’aide. Et Erwan meurt dans son alcool avec la haine envers les femmes. Car c’est l’une d’entre elles qui l’a renversé. Ivre mort. Il crève sur un bout de trottoir, la rage dans les yeux de ne pas pouvoir assouvir sa soif de meurtre envers elles.
« Willy, écoute moi, tu ne dois pas faire confiance à Papa. Fuis le comme la peste. Tu m’entends ? » Il est trop jeune. Il est si fragile. Il est si innocent. Je dois le protéger. Je dois être présente pour mon petit frère. Willy, je suis là.
Alice, tu es une fille. Alice, tu es faible. Alice, tu es naïve. Alors subit la colère des hommes, alors laisse les forts te crever, alors les profiteurs auront raison de toi. Alice tu dois être comme un homme, tu dois être forte, tu dois ruser. Ma seule chance, ma seule opportunité, ma seule réussite. Alice, tu dois vivre pour ta mère qui n’a jamais vécu que dans la violence et le désespoir. Alice, je sais que je serai fière de toi. Toi-même tu seras pleine de fierté quand les flics embarqueront ton père un jour peut-être, si tu ne lui as pas rendu ses coups d’ici là. Bat toi Alice !
« Crève. Crève. Crève. » Les images de guerre, de sang, de mort défilaient devant ses yeux et Alice se calmait peu à peu en entendant le chant de sa manette dans ses main et les bruitages du jeu vidéo, en voyant la souffrance imprimée sur les visages pixélisés et le sang maculer le sol. C’était sa drogue, son unique moyen de faire sortir toute la rage et la haine qu’elle avait en elle. Cette colère, elle aurait dû la déverser sur son père. Cet alcoolique violent qui avait frappé sa mère, meurtri son enfance et tué son petit frère. Elle joua pendant des heures. A s’en détruire les phalanges. Puis elle coupa le jeu lorsque sa mère l’appela. Elle sortit de sa chambre et descendit les marches de l’escalier avec nonchalance. L’appartement était en piteux état, mais aucune des deux femmes qui y résidaient faisaient réellement attention à la propreté. Elles ne voulaient pas faire le ménage. Elles préféraient vivre dans une crasse, parce que cette dernière s’était déjà ancrée en elle. Le sale, le mal, la désillusion. Le bonheur n’était plus qu’un tas de merde entouré de mouche pour elles. Elles qui avaient connu la trahison, la violence, le mépris, la mort et le harcèlement. Elles se laissaient aller. Alice se contrefichait de ses résultats scolaires et on l’avait souvent renvoyée pour comportement obscène ou insolence. Elle insultait les gens. Elle les frappait. Elle osait se montrer nue dans les couloirs du lycée. Parce qu’elle n’avait plus peur de rien. Parce qu’elle n’avait plus rien à perdre. Ou presque rien.
Son seul lien à un semblant de vie, c’était lui : Eliott Hedger. Elle lui vouait une fascination extrême, totalement fanatique. Elle s’identifiait à lui sans trop savoir pourquoi. Elle le voyait rejeter par les autres, sans cesse comparé à sa grande sœur qu’on disait plus talentueuse. Alice ne jurait que par lui. Elle tenta d’entrer en contact avec lui à plusieurs reprises et finit par réussir. Elle lui confia à quel point elle le trouvait brillant, attisant la haine qui régnait en lui quand elle parlait de vengeance contre les siens qui ne le reconnaissaient pas à sa juste valeur. Quand elle recevait un de ses mails, elle le relisait au moins dix fois. Elle admirait ses mots choisis judicieusement. Elle aurait été capable de tout pour lui. Eliott Hedger.
Elle rejoignit sa mère dans le salon. Cette dernière lui tendit un colis qui lui été visiblement adressé. Alice se rappela qu’elle avait reçu un sms la veille. Tard dans la nuit. Elle était en train de jouer quand son téléphone portable avait vibré. Elle avait mis le jeu en pause à contre cœur et s’était jetée sur son lit pour se saisir de son mobile et consulter ses messages. Une sorte de pub pour un nouveau jeu. Elle n’avait pas cherché à comprendre, ça l’intéressait et en plus, on ne mentionnait pas de prix. Un essai peut-être. Et c’était Hedger. Alors ça serait forcément génial. Elle avait répondu positivement avant de reprendre le cours de son jeu.
En remontant dans sa chambre, elle ouvrit le carton. Il y avait là un casque. Elle l’examina quelques instants en s’asseyant sur son lit. Sa mère se plaignait souvent du son du jeu qui allait trop fort, Alice avait justement besoin de s’en acheter un. Elle le scruta sous tous les angles. Puis, quand elle jugea bon de l’essayer, le brancha à sa console avant de le poser sur sa têtes et de le visser sur ses oreilles. Instantanément, elle fut transportée. Elle allait découvrir sa nouvelle vie. Une vie meilleure.
✗ Ton arrivée à Euphemia et ta réaction :
Son premier reflex fut de chercher Eliott. Il était forcément là. Forcément. Elle fut l’une des premières « étrangères » à arriver sur Euphemia. Elle choisit d’entrer à Hope Corporation dans l’espoir de nuire à Umbra. Parce qu’elle voulait aider Eliott. Elle retrouva ce dernier. Elle put enfin le rencontrer. Son cœur battait la chamade. Chaque fois qu’elle est avec lui, c’est comme si elle mourrait lentement. Elle le trouve tellement fascinant. Désormais, elle est Horizon, au service de Father contre Umbra dont elle est la garde du corps. Un agent double au sein de Hope Corporation travaillant pour les forces du mal. Qui croirait que cette bouille d’ange égaré, cette élégance féminine, n’est qu’en fait qu’une moitié d’orpheline belliqueuse et rebelle ? Un petit bout de femme qui veut se croire plus fort que les autres. Parce qu’Alice est une battante. Et Horizon, elle, elle sait se battre.
» Toi le geek.
NOM/PSEUDO : Yuki.
AGE : 17 ans.
JEU VIDÉO FAVORI : Euh.. Super Smash Bross Brawl Wii (frappez moi)
FILM FAVORI : Pirates des Caraïbes.
MANGA/SÉRIE FAVORITE : Black Butler, Vampire Knight, Hakuouki Shisengumi Kitan (et les yaoiiiis). Séries ? Dr House, Desperate Housewives et euuuuuh.. Glee !
COMMENT T'AS DÉCOUVERT LE FORUM ? : Grâce à mon Father chéri !
T'ES UN OUF DANS TA TÊTE ? : Yes, and proud.
MANGER OU BOIRE ? : Boire de l'Ice Tea et manger des Granola.
JE TE SAOULE AVEC MES QUESTIONS ? : J'aime qu'on s'intéresse à moi. /PAN/
UNE DERNIÈRE ALORS, C'EST QUOI LE CODE ? :
Dernière édition par Horizon le Ven 9 Aoû - 13:07, édité 1 fois |
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