La période estivale est sur le point de s'achever sur Euphemia... Après les récents événement personne n'y a vraiment prêté attention. Pas de plage, ni de stand de glace à l'horizon, est-ce que l'été s'en ira sans que personne ne puisse en profiter ? Et bien, non ! Ça ne se passera pas comme ça ! Verity et Umbra ont créé rien que pour les joueurs une île éphémère ! L'île Matsuri ! Inspirée de la fête traditionnelle nippone, un festival se déroule en ce moment même !

La journée décline doucement, le festival est sur le point de commencer ! Stand de barbe-à-papa ? Takoyaki ? Lancé d'anneau ? Tout est réuni pour que vous puissiez vous amuser ! Pour l'occasion, vous trouverez dans vos inventaire une lanterne pour vous éclairer et un habit traditionnel japonais. Il ne vous reste plus qu'à vous balader et à profiter de l'île.

Vous remarquez que les stands sont tenues par des Yokais, créatures du folklore japonais qui effraient les plus jeunes, le soir... Ils n'ont pas l'air agressif.

HRP:

•D'autres informations vous seront communiquées pendant la durée de l'animation !

•L'ordre de réponse: Justice-Arzel-Lola-Calypso-Eva-Father-Asling J'ajouterai des membres au fur et à mesure, s'ils arrivent.

•Pas plus de 200 mots s'il vous plaît!

•Vous pouvez décrire votre tenue sommairement entre spoiler!

•Si vous voulez abandonner parce que vous devez partir ou autre, n'hésitez pas à le signaler dans votre dernier post, je vous ferai disparaître 8D!

•Si vous n'êtes pas là pendant quelques minutes, signalez le aussi, sur la cb par exemple comme ça la personne après vous pourra répondre en sautant votre tour, on prétextera que votre personnage a eu une envie pressante.

Partie ON CB:

Yukata sur le dos, lanterne en main, cheveux noués. Ca faisait longtemps. Un peu trop peut-être. Tu n'avais jamais été très amatrice des festivals de ton "vivant", mais celui-là t'attire étrangement. Notamment en raison de la gueule des PNJs. Ouais. On va pas se le cacher, c'est d'une epicness over 9000 thousant. Alors tu souris, tu ricanes, en jetant des coups d'oeils curieux aux gens autour, un peu agacée par un groupe qui braille, mais tu aimes mieux t'en acquitter pour continuer ta route, simplement, à la recherche de quoi que ce soit d'intéressant.

Quelle gentillesse, de la part des maîtres de vous avoir fait ces cadeaux, pas vrai ? Tu enfiles le Yukata et sors la lanterne, te repère grâce à la lueur de celle des autres. Il semblait y avoir de l'animation aux anneaux. Tu t'en approchas, doucement pour éviter de les ennuyer. Il serait fâcheux de les fâcher, même déjà fâchées. Tu ravales ta salive quand l'une des demoiselles demande les anneaux. Elle n'était pas très polie, ce n'était pas bien grave.

« S'il vous plait.. », annonces-tu timidement, dans l'espoir que la demoiselle ne reçoive pas les anneaux accompagnés d'une paire de tartes.

Inspire. Expire. Tu as peur du noir, Caly. Tu en as toujours eu peur, et disons que la vue d'un espèce d'un vieux squelette dégueulasse juste avant l'extinction des feux te conforte un peu plus dans ta raison de détester l'obscurité. Sauf que ouais. Bon. Les lumières se rallument, et... Limite c'est pas mieux.

« Vous pouvez ré-éteindre en fait ! »

T'as la trouille, sacrément. T'en trembles limite. Pauvre petite Loli que tu es, où qu'il est ton badass ?

Tu t'apprêtais à tendre la main pour attraper les anneaux, que l'autre dame ne se fatigue pas à ça quand les lumières s'éteignent. Lorsqu'elles se rallument, tu deviens toute pâle. Brr. Mauvaises hallucinations. Tu grimaces, prête à déjà rendre les armes. S'il fallait, tu te mettrais à genoux pour qu'ils épargnent ta vie. Que c'était beau, la lâcheté.

Un yukata sur le dos, tu marches autour des stands sans trop savoir ce que tu fais ici. La bonne odeur des sucreries t’écœure, mais celle des takoyakis te met de bonne humeur. C'est en t'arrêtant à ce stand, lanterne dans la main droite que tu demandes au vendeur quelques portions. Tu avais faim, vraiment faim. Pourtant, le temps que tu tournes le regard, les lumières s'éteignent soudainement, te glaçant légèrement l'échine avant de reporter ton attention sur un petit groupe encerclé et sur... Le vendeur qui venait de changer d'apparence. Tu attrapes les takoyakis, parce que oui, tu avais faim, tu es surpris sans l'être; puis tu t'avances vers le petit groupe...

«... Qu'est-ce que c'est que cette merde... ?  »

Tu ne savais pas ce qui se passais, tu ne comprenais pas et le ton blasé que tu prenais montrais par A+B ton intérêt pour la situation...

Espèce de folle dangereuse kamikaze. Sérieusement, c'est possible d'être assez intrépide pour virer totalement con ? Genre, vraiment ? Et voilà que l'autre sorbet banane s'y met. Elles sont totalement teubées ou juste cinglées ?

« Arrêtez ! Vous allez nous faire tuer ! »

Que tu gueules. Ouais mais non. Ca se peut ils viennent en paix, ça se peut en fait ils voulaient juste vous étudier. Ca s'peut en fait ils voulaient juste faire la bringue avec vous jusqu'à... Jusqu'à finir la tête dans une poubelle.

Tu hausses les sourcils. Tout le monde tapait. Mince. Tu voulais juste faire la paix, toi. Si ça se trouve, ils n'avaient même pas envie de vous arracher les yeux ou les ongles. brr. Tu papillonnes des yeux, fais quelques pas en arrière. Tu n'avais pas envie de mourir..

« Nous faire tuer ? Je croyais qu'on pouvait pas mourir, dans un cauchemar.. » Mais évidemment, t'allais pas te pincer pour vérifier.

Tu ne sais pas du tout où tu viens de mettre les pieds. Le temps que tu t'approches et que tu balances cette phrase sans vraiment savoir pourquoi, une petite hyperactive qui avait envie d'en découdre venait de taper dans le ventre d'un des "monstres". Désabusé, tu te "facepalm" parce que franchement, tu ne donnais pas cher de leur peaux. N'empêche, cela t'amusais, sombre enfoiré que tu es. Plantant un des piques dans un des takoyakis, tu le fourre dans ta bouche avec grâce, une mine toujours blasé sur le visage. Autant rester et apprécier le spectacle. Pourquoi ne pas lancer des paris ?

La suite des évènements se déroule peut-être un peu trop vite pour ta petite tête. Beaucoup trop vite même. Le squelette réapparu sous vos yeux t'arrache un frisson violent, bien que pour le coup tu ne percutes pas, même si la disparition des deux jeunes hommes te laisse de marbre. Tant pis pour eux. Egoïste que tu es. Sauf que ouais bon, t'as quand même eu peur. Mais t'es foutue de réagir seulement lorsque le squelette a déjà disparu. Alors tu hurles. Un hurlement bien viril comme on en fait plus. Un hurlement viril... Sérieusement ? Tu couines, l'air lamentable, les larmes aux yeux, que tu rives sur tes mains et...SURPRISE MADAFACKA.

« C'est quoi ce putain de bordel ?! » hurles-tu (encore, décidément) en tirant dans le plus aigu que tu puisses, entamant de chercher des yeux ton propre corps non sans manquer de te casser la gueule sur le takoyaki tombé à tes pieds la première fois que tu t'es époumonée.

« Je sais pas ce qu'on va faire mais moi j'vais extirper le machin qui owe mon corps ! » lances-tu à l'égard de l'espèce de folle kamikaze qui n'est apparemment plus la folle kamikaze.

Wah. Tout le monde était vraiment bizarre. Y avait même une deuxième toi. Tu gonfles les joues et optes pour voir à quoi tu ressemblais. Tu secoues la tête et devant tes yeux, des cheveux rouges faisaient irruption. OH. ROUGES. TROP BIEN. Tu les mets en pagaille, les fous devant tes yeux et souffles dessus, comme une imbécile. C'était chouette. Jusqu'à ce que les autres éprouvent du mécontentement.

« Je sais pas à qui est-ce que je dois m'adresser, mais tes cheveux sont super ! » Comme si ça allait changer l'ambiance.

Pourquoi tu t'es intéressé à ce groupe en fait ? Au final, tu n'auras pas dû venir à ce putain de festival, rester chez soit à manger des pâtes ça aurait été mieux, carrément mieux. Tu n'as pas trop suivis ce qui se passait, juste qu'une fantôme à littéralement traverser ton corps. Tu n'as pas peur, tu es juste surpris, mais le temps de cligné des yeux et... Tu te retrouves à une place à laquelle tu n'étais pas, tu entends des gens s'égosiller, péter des câbles et... Les takoyakis tombent au sol, une voix rauque qui hurle, ta propre voix. Une longue chevelure châtain te passe devant les yeux, que tu attrapes en les regardant avec insistance. Wait, wait, wait, wait, WAAAAAIT ! Des cheveux de filles ? Une poitrine ? Une petite taille ? PUTAIN que tu t'écris intérieurement avant de t'approcher de ton propre corps.

« Y'a pas à tortiller du cul pour chier droit, je veux récupérer mon corps. C'est clair, net et précis. »

Une voix féminine... Omg, ton charisme avait disparu... ?! Tu n'étais plus qu'une enfant... Retrouver ton corps viril, par tous les moyens !

« L'autre tanche à dit qu'on devraient passer des épreuves ? On attend quoi ? On bouge ou on se tripote ? »

Hors de question d'attendre, récupère ton PUTAIN de CORPS !