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 Këdherys, Le jeune Killian à envoyé "1" au message.
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Këdherys


Holy Sword

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Këdherys

Messages : 36
Date d'inscription : 08/05/2014
Localisation : HolySword

Këdherys, Le jeune Killian à envoyé "1" au message. Empty
MessageSujet: Këdherys, Le jeune Killian à envoyé "1" au message.   Këdherys, Le jeune Killian à envoyé "1" au message. I_icon_minitimeDim 11 Mai - 19:32


❝Këdherys❝


✗ Comment tu t’appelais ?
Killian Hurst
✗ Tu as choisi quel pseudo ?
Këdherys
✗ Tu as quel âge en fait ?
21 ans, mentalement ça se discute !
✗ Tu viens d'où ?
Irlande, pays de l'indépendance, de la Guiness et des docks !
✗ Tu veux aller sur quelle île ?
Holy Sword
✗ Tu fais quoi dans la vie ?
Livreur, « de tout ou de rien, qu'importe le lieu et le moment ! »
✗ T'es un super-héros ?
Voler.
Spoiler:


» Mémorisation Physique.



✗ La couleur de tes yeux de biche ?
J'ai les yeux bruns aussi, derrière des verres de lunettes dû à un excès de « Bon, dernière petite chose sur l'ordi et j'vais me coucher ! »
✗ Et celle de tes cheveux au vent ?
Je suis brun, tout ce qu'il y a de plus basique !
✗ Tu sens la rose ou tu pues le yack ?
Je ne sens pas, je me parfume à l'air frai et je prends des douches régulièrement.
✗ Taille & Poids ?
La taille de mon lit, moins quelques centimètres soit 1m75 et en poids, je dois peser aux alentours de 70L d'eau.
✗ Signe distinctif ?
J'ai un casque, de musique et un pour aller sur Internet. Je suis maniaque, un peu trop. Je me nourris quasiment exclusivement de sucette et ma couleur favorite est le vert (je fais fureur à la Patrick's Day !).


» Analyse cérébrale.



✗ On n'est pas parfait hein ?
Maladroit, « Ancien Dépressif », « Non-Sportif », Maniaque, Rêveur, Innocent
✗ Mais on gère la fougère ?
Curieux, Intelligent, Créatif, Autodidacte, Débrouillard, Sociable, Malin
✗ Tu préfères les garçons, les filles, les deux, les chatons ?
J'aime bien déconner entre pote, écouter les histoire des filles, ou inversement et j'aime bien les chats oui (Je suis pas très relationnel, 'fin les amours toussa toussa, ça me réussi pas, j'préfère mon ordi !)
✗ Moi j'ai un rêveuuuh ?
J'aimerai quitter cette situation, échapper à ma condition de citadin, je voudrais être libre, tout reprendre à zéro et tout oublier ...
✗ T'as peur de quelque chose ?
Que finalement, tout les efforts que j'ai fourni pour échapper à ma vie ne me rattrape, j'ai peur de finir comme mon père ...
✗ Quels sont tes goûts ?
J'ai toujours aimé découvrir, l'ordre et les choses bien rangées, j'ai en horreur le stupre et la fornication, je déteste me sentir enfermer, je voudrais pouvoir m'envoler, partir loin en glissant dans le vent. J'aime aussi le swing, la musique celtique, le rock et la techno ainsi que les dérivés de ces deux derniers
✗ Signe distinctif ?
Je suis mono-maniaque, donc si vous voyez une maison plus propre que la moyenne, c'est sûrement la mienne.


» Chargement du jeu.



✗ On a tous un passé :

Une naissance involontaire, des parents non-préparés

«  Killian n'est pas un enfant comme les autres, pas par des capacités hors du communs mais plutôt par sa naissance. Ce fût celle-ci qui le mis dans cette situation. Killian est né peu de temps avant Noël, un jour comme un autre, c'était peut-être un 23 ou un 22 décembre. Peu de personnes s'en soucie, en réalité, personne ne sait vraiment, l'on sait juste qu'il est né à 12 ans. »

Je marquais une pause devant mon clavier, ahuri. Cette étrange icône, ce petit avatar venait de pénétrer dans un domaine gardé, ma vie privée. Comment avait-il fait ? Comment savait-il ça ? Je me précipitais sur mon clavier, frappant d'une main tremblante de peur et de colère, comment pouvait-il savoir autant de détail sur ma vie, comment pouvait-il savoir pour mon « ancien moi » ? Et de quel droit se permettait-il de poster sur mon propre blog pour annoncer de tels choses, savait-il seulement qu'il était lu par des milliers d'internautes ?! Tandis que j'écrivais sur ce clavier usé, mon seul rattachement affectif à mon passé, ma détermination et ma frustration m'abandonnèrent laissant places à une énième rêverie … Je déposai alors un doigt leste et vide de sentiment sur ma touche Backspace et me laissa retomber en arrière sur mon fauteuil me tournant vers la fenêtre qui donnait sur une rue illuminée de décoration :

''Noël approche, on dirait …'' pensai-je, pris dans mes rêveries.

Ma naissance, c'est vrai, j'aurais pu être quelqu'un d'autre, beaucoup plus stable, si seulement je n'étais pas né par ces parents. Je suis né en effet durant un hiver, dans un hôpital, tout ce qu'il y a de plus classique. Ma mère me l'a raconté. C'est bien la seule chose qu'elle a partagé avec moi. 4 ans après ma naissance je me retrouvais dans le cycle de l'éducation, persuadé d'avoir une montagne de connaissance sous mes pieds et que ces adultes qui se précipitaient sur moi, d'une année à l'autre allait m'aider à escalader pour devenir une fierté pour ma mère. Je ne connaissais pas encore mon père, bien heureusement. C'est ainsi que j'entamais, de la manière la plus classique le circuit qui pendant 4 ou 5 ans m'apprit les bases des connaissances, le Junior and Senior Infants. J'appris donc que j'étais un être humain, unique de par sa personnalité, son intelligence, ses choix, ses goûts … J'étais un enfant très classique et ma vie ne pouvait donc qu'être bien faite en persévérant dans cette voix.
A 8 ans, j'attaquais le deuxième cycle de ma vie. Mais, tout ne s'est pas passé comme prévu.

Des parents non-préparés, disais-je.

Ma mère était débordée financièrement à cette époque, elle n'arrivait pas à subvenir à son enfant et à elle-même au travers des périodes sans emploi. Très vite, trop vite, elle sombra. Elle faisait des heures supplémentaires, ne rentraient pas le soir et je finissais très souvent, trop souvent seul, devant l'école sans personne pour venir me chercher. J'étais une sorte de poids en trop pour elle. Mais elle s'acharnait à vouloir améliorer notre situation. Jusqu'à la rupture …
Un week-end, j'avais douze ans, je crois, n'ayant jamais fêté d'anniversaire faute de moyens financiers et d'une mère trop absente, je n'ai jamais vraiment eu conscience de mon âge. Tout étant que nous partîmes en voiture durant des kilomètres au travers de paysages verts et gris. Nous arrivâmes dans la nuit, dans une ville qui m'était totalement étrangères, sans que je sache pourquoi. Là, elle s'arrêta dans une rue. C'était typiquement le genre de rue que je n'aimais pas, situé entre deux bâtiments, deux immeubles, elle n'était éclairé que par l'accès de secours d'un troisième au fond de cette impasse. Sur la gauche, l'on pouvait voir deux grandes poubelles qui laissaient s'échapper de leurs bouches putrides leurs contenus qui s'étalait comme un tapis sombre sur le goudron humide de la ruelle. Non, cette rue n'était pas faite pour accueillir des gens, alors pourquoi ma mère m'a-t-elle emmené ici ? Eh bien, c'est au travers de cette porte vers laquelle nous nous dirigeâmes que j'allais le savoir.
Une arrière boutique, une volée d'escalier, un étage, mon père. Voilà ce que nous venions faire. Alors que durant 11 ans, je n'avais pas vu ne serait-ce qu'une seule fois le nom de mon père, je le voyais de face. Il avait les mêmes cheveux que moi, au détail près qu'ils étaient gras et décoiffés. Une clope soutenait une mèche qu'il avait rabattu derrière son oreille et son visage se crispait sous la fumée qui s'évadait de sa bouche dont les lèvres maintenait fermement une deuxième cigarette.

« Z'êtes qui ?! » Furent ses premiers mots. Ma mère, s'impatienta, attrapa la clope de cet homme et l'écrasa sous un pied rageur avant de lui répliquer quelques mots d'une vulgarité que je ne préfère pas évoquer, mais elle lui fit comprendre que sa génitrice avait une profession douteuse et qu'il avait un fort penchant pour les proctologues.
L'homme tout d'abord surpris d'une telle agression en pleine nuit regarda enfin son interlocutrice dans les yeux et effaré, lui claqua la porte au visage pour l'empêcher d'entrer. Ma mère, indignée, força la porte et pénétra dans la maison me tirant par le bras à l'intérieur.
C'était un désastre. La fumée de la cigarette m'emplis les narines, tandis que mes yeux se perdait dans ce désordre innommable. C'était un petit appartement, ou plutôt un studio, les fenêtres closes empêchaient la lumière des lampadaires extérieurs d'éclairer cette cellule déficiente, cette appendice  de la ville. La seule lumière qui éclairait le désordre était celle émise par un ordinateur posé sur une table, l'unique table de cette salle. La fumée me faisait tourner la tête et me donnait envie de vomir. Il y avait ci et là, pêle-mêle, des cartons de pizza, des bouteilles de bières vides et des mégots de cigarettes traînait ci et là, les cendriers étant pleins à craquer. Mon père, enfin, cet homme, était assis dans ce foutoir essayant, paniqué de ranger autour de lui en se murmurant à lui-même je ne sais quels excuses prétendant qu'elle, ma mère, aurait-dû prévenir avant de venir. Mais, ma mère n'était pas là pour constater le sort de ce pauvre homme, elle l'attrapa par le bras et le mena à l'extérieur. S'ensuit une terrible dispute, durant laquelle je perçu des bouts de phrases tels que « vue ma situation, je peux pas ... » ou encore « ...Garde-le ! » Très vite je compris la raison de notre venue, j'allais passer du temps avec mon père. Rien que cette idée me terrifiait. Passer une journée avec cet homme me donnait la nausée, je le revoyait avec son tee-shirt taché, sa barbe mal taillée, son absence de pantalon exhibant presque fièrement un slip d'une blancheur douteuse et son air sec, maigrichon et usé par la fatigue et la quarantaine mal assumé. Je ne pouvait me résoudre à ça. Je voulais bouger mais ce scénario qui se formait dans ma jeune tête m'en empêchait. C'est alors que j'entendis vrombir le moteur de la voiture de ma mère et démarrer la marche arrière. Terroriser de voir mon cauchemar se concrétiser, je m'élançais dans les escaliers pour sortir dans la vieille ruelle, mais un bras m'attrapa par la taille et me tira en arrière. Mon père, d'un air sévère me fixa dans les yeux et me jeta à nouveau dans la pièce, où je m'effondrais en larme, sachant que mes craintes étaient maintenant réalisé. Mon père me toisait, depuis le pas de la porte et me lâcha sur un ton faussement joyeux :

« Eh bien, mon bonhomme. On est ensemble à présent. Arrête de pleurer. »

Des années plus tard, la mort de mon père, le début de ma vie ?

Il serait inutile de vous préciser en quoi ma vie avec mon père fut désastreuse, elle n'était en aucun point coordonnée à celle des autres enfants de mon âge. En effet, à l'issue de ce fameux week-end, je demandai à mon père de m'emmener à l'école. Il me répliqua sèchement qu'il était fatigué, et que je n'avais qu'à y aller tout seul. Je ne connaissais pas la ville, je ne savais pas comment faire. Il me jeta un regard, enfin depuis ce fameux soir et me dis que si je voulais je pouvais tout aussi bien rester ici. J'avais trop peur de sortir seul, et je voulais voir comment les journées de mon père se déroulait, j'acceptais donc sa proposition et restait une journée de plus dans cette cellule. Et c'est ainsi que ressembla les premières semaines passées chez lui, je lui demandais, il me disait de partir seul, et je n'osais pas. Je n'osais jamais. Je n'ai jamais osé en réalité, j'ai toujours accepté de rester à la maison, c'est peut-être de ma faute si finalement je suis devenu comme ça …
Mais un jour, plus exactement 3 ans et 5 mois plus tard, alors que je renonçais à sortir de ce nouveau « chez moi » trop honteux de mon état, de l'odeur de cigarette qui me couvrait le corps et les vêtements, de mon absentéisme à l'école. Mon père s'est levé de son ordinateur, moi, dormant à mon habitude sur le canapé devant la télé. Il parti se préparer, pour une fois. Il s'habilla, pour une fois. Et me dis, reste-là quelques instants. Insouciant je ne réagis même pas, depuis quelques jours je ne réagissait même plus aux allées et venues de mon paternel ayant trouvé un refuge dans ma conscience, me laissant bercé par mon imagination, je me laissais aller. Il revint quelques minutes plus tard, tenant dans une main des vêtements neufs, et me les envoya aux visages :

''Prépares-toi, j'ai un cadeau pour toi.''

A demi-conscient, je me levais et me dirigeais vers la salle de bain quand je compris tout à coup que quelque chose ne tournait pas rond. Je m'empressais donc, sous l'eau froide et m'habillai en quatrième vitesse avant de retourner dans le dépotoir. Il m'attendait encore en haut des marches. Lorsqu'il vit que j'étais près, il descendit les escaliers et je le suivait, curieux.
L'on marcha plusieurs minutes en villes dans un silence religieux et nous nous engageâmes dans une boutique d'informatique. Là, et pour la seule et unique fois, il me sourit et me dit :

« Va te chercher un écran, une tour, un clavier et une souris ! Fonce ! »

Je m'exécutais, sans réellement comprendre pourquoi il faisait ça, mais l'idée de faire quelque chose chez lui me donnait des ailes dans les rayons du magasin. L'on avait déjà utilisé des ordinateurs lorsque je vivais encore chez ma mère, et je savais que Internet était une mine d'informations, je préparais déjà dans un coin une petite ouverture dans ce nouveau monde que mon père m'imposait. Après mes achats fait, nous repartîmes à la maison, les bras chargés de matériels et le sourire de mon père me semblait pour une fois quelque chose de rassurant.

C'est ainsi que je débutai ma vie sur le net. Durant 3 mois, j'appris le Webdesign, avec mon père, enfin quelque chose que nous partagions ensemble. Le dernier mois, nous coopérions ensemble encore sur différentes commandes et c'est ainsi que je compris comment il faisait pour subvenir à ses besoins. L'homme avec qui je bossais était un webdesigner qui travaillait en freelance chez lui expliquant sa condition et son absence de vie sociale. Mais pourquoi se forçait-il au travail comme ça ? C'est durant ce dernier mois que je l'appris.
Un beau matin, Il ne se leva pas. Il ne démarra pas son ordinateur. Il ne le démarrerait plus. Ce jour-là, alors que je me réveillé brutalement pour lancer mon ordinateur tandis que je me servais un café. Je poussais du pied mon père allongé sur le sol, comme il lui arrivait souvent. Cette fois-ci il ne bougea pas et chose étrange, son corps était froid et il ne régissait pas, même lorsque je le frappais de toutes mes forces pour le faire réagir. Empressé, terrifié, en larme, j'appelais les urgences. Elles arrivèrent et me constatèrent le décès appelant à leurs tours la police qui me demanda de témoigner. Je leurs expliquait comment la situation c'était déroulé, ailleurs mes yeux perdus sur l'homme qui m'avait fait grandir trop vite, leur cachant tout comme à vous, ces nuits passé sous l'ivresse de mon père où lorsqu'il était en compagnie féminine et qu'il faisait du rangement, passant alors mes nuits enfermé dans la salle de bain pour ne pas être vu par la femme qui exerçait alors le plus vieux métier du monde. Tandis que je faisais ma déposition, je sentais monter en moi non pas de la tristesse, mais presque de la satisfaction, une sorte de bonheur même. Tout ça était fini.

Je fus placé en foyer d'accueil jusqu'à mes 18 ans. Et ainsi, je reçu ma majorité. Durant ces 3 ans, j'acquis la fin d'un programme scolaire que j'avais abandonné et fut donc soutenu d'une part par des camarades et d'autres part par un professeur particulier. Mais rien de tout ça ne me touchait car je vivais quelque chose de merveilleux. Je voyais le monde extérieur, je sentais contre moi le vent frai, je discutais avec des gens, j'avais l'air propre sur moi et la lumière m'inondait à tout moment de la journée. Je vivais.

Mais à mes 18 ans, j'eus un brusque retour à la réalité, je ne pouvais pas vivre comme ça, il me fallait un emploi, gagner de l'argent et travailler. Je savais ce que je voulais faire et je n'avais nullement besoin de diplômes particuliers. Juste un travail. Le WebDesign en Freelance. Je pris cette décision en novembre et le 22 ou le 23 décembre, à mes 18 ans piles, je reçu un message sur mon téléphone. L'informaticien de la boutique où mon père m'avait emmené voulait me voir. Intrigué et curieux, je m'y rendis pleins de questions. Mais il n'y répondit pas. Il se contenta de m'attendre devant la porte du magasin tenant dans sa main une petite boîte. Sans un mot il me la donna et partis. Ce moment étrange et silencieux fut pour moi vide de sens, et une fois chez moi j'ouvris la boîte. Je vis une carte de crédit, et un code marqué sur un post-it de la main de mon père. Cette carte lui appartenait, et il me la léguait ? Tant mieux.
Son compte était fourni, très fourni la moitié de la somme de ses commandes avaient fini sur ce compte. Je me servis de cette somme pour m'acheter un appartement, d'où je regardais par la fenêtre, alors que les fêtes de Noël approchent, nous sommes le 22 ou le 23 décembre, et bon dieu que le quotidien de ma vie m'ennuie …
Je rêve de liberté, de m'évader en m'envolant de mes propres ailes, et même si je pratique le même boulot que mon père, éviter de finir cloué au sol, dans ma propre cage au milieu de mes propres déchets …  

Je sorti de mes rêveries et répondit plus calmement à cet étrange personnage :

''Tu sais, finalement, raconte-leur. Mais je ne suis qu'une personne sur le web, ma vie n'a que très peu d'intérêt pour eux.:)''

Puis je fermais l'ordinateur et parti me coucher. Je continuerai de bosser demain, pensai-je alors que je m'allongeais déjà dans le lit.


[…] Et c'est ainsi que quelques mois plus tard […]

L'été approche à grand pas, je marche en direction de ma maison, rapidement la musique dans les oreilles, mes yeux évitant de croiser ceux des autres, je dois me dépêcher.

« Qu'est ce que c'était que ce texto ?! » me dis-je, encore sous le choc de ma réponse. Je revois encore les caractères s'écrire sous mes yeux :

« Hedger Impact t'a choisi pour participer au jeu le plus révolutionnaire de notre siècle. » … «  rêvé de liberté ? Vivre sans l'angoisse de ton train-train quotidien ? Cette vie est possible » … « Euphemia » … « au delà de ton imagination. » … « ce choix ne sera pas sans conséquences. Il te faudra laisser derrière toi tout ce que tu as connu jusqu'à présent. » …

Pourquoi ai-je confimé ?! Précipité ? Ai-je cru à un spam ? Ou est-ce tout simplement ce que, secrètement, je désire …

J'en avais pourtant entendu parler de ce texto … Mais pourquoi à moi ? Bref, je devrais plutôt rentrer, j'ai du boulot qui m'attends. Je repars de plus belle, courant presque, les mains enfoncés dans ma veste, la musique dans les oreilles dans les rues de la ville jusqu'à chez moi.

Je grimpe les marches quatre à quatre, et, stupéfait, je m'arrête sur le palier précédent mon étage. En face de ma porte, une boîte en carton avec, sur le côté, deux lettres « H I »

« Hedger Impact » murmurai-je tout bas. J'ouvris ma porte et glissa le carton dans le salon. Je le pose sur la table, m'assois face à lui et, muni d'un couteau, j'entreprends de couper délicatement le scotch qui scellait son mystérieux contenu. À l'intérieur, rien de surprenant, si ce n'est une simple feuille, portant l'inscription : « à toi de jouer, Killian. ». Dessous, se trouve un casque, avec une unique prise, une prise réseau qui plus est. Intrigué je jette le carton à la poubelle, range ma chaise et je pars ainsi dans ma chambre où je le branche à côté de mon ordinateur. Assis dans mon fauteuil,  j'enfile le casque et découvre sous mes yeux un menu déroulant, avec en entête, « Pseudo : Entrez votre pseudo » … Je n'ai pas besoin de vous expliquer la suite.

✗ Ton arrivée à Euphemia et ta réaction :
Je ne me souviens pas très bien des conditions dans lesquels je suis arrivés je me souviens juste d'une chose, j'ai senti une surface dure contre moi. Contre ma joue. Un peu comme si ma tête avait heurté un peu trop fort le sol, j'étais un peu sonné, les idées se bousculant dans mon crâne. Je regardais le sol, et quelque chose me surpris. C'était du bois. Mon sol est un carrelage blanc. Quelque chose clochait vraiment ici en définitive ! Je lève les yeux et je vois un miroir, je n'étais pas habillé de la même manière. Ma chemise était différente. Elle n'était plus noire et verte. Je mis les mains dans mes poches à la recherche de mon téléphone pour regarder l'heure,elles étaient vides. Je comprenais alors que j'étais dans le jeu. Amusé, je me dis que j'y retournerait plus tard. J'essaye de quitter Euphemia, et là : Je ne voyais pas de bouton déconnexion. Je compris alors le texto qu'on m'avait envoyé. Je comprends ce qu'ils disaient par ''Il te faudra laisser derrière toi tout ce que tu as connu jusqu'à présent.''
Une nouvelle vie commence donc ? Étrangement, cette idée ne me déplaisait pas, si tout recommence ici, je serais peut-être heureux … Si tout recommence ici, ça me changerait pas vraiment de ce que je fais déjà chez moi !


» Toi le geek.



NOM/PSEUDO : Raph/ Ahryx, Këdherys, Akitsuna, Kino Akitsuna, Kederis, Wen Kederis, Akahito, Kenko, Kenko Ryuzôgi, Zalvolt (Cette liste, les listes tous, en tout temps.)
AGE : 17 printemps !
JEU VIDÉO FAVORI : Sous forme de liste ^^' :
- Inclassable : Journey, NaissanceE, Spore, Flower, Flow, Cloud
Combat : Tekken, StreetFighter, SoulCalibur 
RpeyGey : FF VI, VII,X,X-2,XII,XIII, TA, TA2, FireEmblem, SolatoRobot
MMORPG : Wow, Elsword, Dragonica, Tera
RTS/MobA : StarCraft II, Age of Empire, Towns, League of Legend, Smite
FPS : CS:Go, Minecraft, Team Fortress 2 (Half-life 3 \o/)
Course : TrackMania.
Action/Plate-forme : Prince of Persia 1,2 et 3, Ratchet & clank 1,2 et 3, unfairMario, Super Meat Boy, CastleVania Aria of Sorrow/Down of Sorrow, Metroid Prime, Metroid (premier du nom.) Super Metroid (la cartouche sur Advance.) Mario Sunshine, Portal 1 et 2.
Jeu de Carte : Magic The Gathering, HearthStone, Scrolls.

Mais en jeu favori, je dirais : Je peux pas me permettre de choisir !!
FILM FAVORI :Pour le moment j'ai reçu une claque avec SnowPiercer.
MANGA/SÉRIE FAVORITE :Trop nombreuse mais je dirais : Sword Art Online, Steins;Gate, Doctor Who, Sherlock(BBC) The Big Bang Theory, Walking Dead et Game of Throne
COMMENT T'AS DÉCOUVERT LE FORUM ? : Ce serait un roman que de raconter mon parcours exact. Mais en gros, j'ai navigué toute une journée pendant près de 12h non stop jusqu'à trouver ce forum. Donc à chaque fois je lisais un contexte, je regardais le thème et « l'ambiance » sur les différents topics. Mais j'ai trouvé mon bonheur ici. Je trouve cet univers réellement original (et ceux qui me diront que c'est un copié/collé de SAO, je leurs mets deux baffes. C'est INSPIRE m'okey ?!) Je suis resté scotché par la suite. Je me suis donc mis à approfondir ma recherche ici, en allant lire le règlement, en lisant le contexte et la FAQ, deux trois topics Rp en ayant en arrière pensée qu'il FALLAIT que je trouve un couille dans le potage parce qu'une communauté aussi fun ça ne pouvait pas exister ! Mais, j'en ai pas trouvé, voilà, clairement je suis sidéré de voir un forum aussi bien, et le mot est faible.
T'ES UN OUF DANS TA TÊTE ? : Je sais pas, à vous de voir !!
MANGER OU BOIRE ? : Manger mon café !
JE TE SAOULE AVEC MES QUESTIONS ? : Bien sûr que non, elles sont où les autres ?:DD
UNE DERNIÈRE ALORS, C'EST QUOI LE CODE ? :
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Këdherys, Le jeune Killian à envoyé "1" au message. Empty
MessageSujet: Re: Këdherys, Le jeune Killian à envoyé "1" au message.   Këdherys, Le jeune Killian à envoyé "1" au message. I_icon_minitimeMar 13 Mai - 13:23

omfg omfg
ta fiche est.
putain j'ai trop aimé l'histoire. je me suis reconnu à des moments (je travaille dans le web lololol)
et j'adore quand le sms, le colis, l'arrivée sur euphemia soient aussi bien détaillés et traités dans l'histoire (je m'en fous du reste en fait 8D) //die

je te valide, merci merci pour tes compliments sur le forum et la communauté, je te souhaite de rester avec nous longtemps ♥♥

ET TON PERSONNAGE EST TROP COOL (au début de l'histoire j'ai pas compris le truc de "il est né à 12 ans" et en lisant la suite ça revenait pas alors j'ai pas trop compris, erreur de frappe ou?")

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Këdherys, Le jeune Killian à envoyé "1" au message.
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